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Cet article rapporte les résultats de l’analyse de trois cartes du 17ème siècle au moyen de deux méthodes de spectroscopie. Il contribue à une meilleure connaissance des techniques et des palettes utilisées pour la coloration des cartes de cette période ainsi que la dégradation des pigments.

Cet article explore l’utilité de la spectométrie de fluorescence des rayons X (SFX ou FX) dans l’identification des pigments utilisés sur les premières cartes imprimées modernes colorées à la main.

L’enluminure est l’art de mettre de la couleur sur les estampes. L’auteur aborde les techniques d’enluminure des cartes et atlas imprimés et leur évolution au cours de ces trois siècles. Elle discute des couleurs utilisées et de la manière dont les cartes sont « coloriées », à la manière flamande, hollandaise ou française.

Dans cette thèse, on découvre la nature du commerce des pigments bleus au XVIIe siècle, à travers l’examen d’ œuvres conservées dans la Collection de la National Gallery de Londres. On y décrit des pigments disponibles pendant la période et leur lieu d’origine, mais aussi les facteurs pouvant influencer l’utilisation de ces pigments, que ce soit des influences sociales et culturelles (goût, religion et marché de l’art) ou encore d’autres facteurs comme que la guerre, les lois et même le climat.

Cet excellent article, écrit dans un language simple, ne porte pas sur les cartes spécifiquement mais nous apporte toutes sortes de renseignements utiles. Il présente de façon détaillée et organisée les différentes techniques en relief (bois), en creux (en taille directe – ex : burin – et indirecte – ex : eau-forte) et à plat (lithographie). L’auteur décrit les procédés et matériaux et nous donne ensuite quelques indices pour reconnaître l’utilisation de telle et telle technique.

Cet article, paru dans le numéro de la revue Le Verger, dédié au monde de l’imprimé (1470-1680), présente, de façon détaillée, toutes les étapes de la production de cartes géographiques imprimées, au XVIIe siècle, en prenant l’exemple de Pierre Duval, géographe du roi et neveu de Nicolas Sanson.

Cet article, illustré de quelques plans magnifiques de la ville, présente l’évolution et l’usage des plans de la ville de Nice aux XVIe et XVIIe siècles. Il présente l’usage fait par les ingénieurs militaires et les architectes des plans de la ville et de ses fortifications, et les raisons de l’absence de plans cadastraux jusqu’au XIXe siècle.